D'origine mosellane, L.J. Stranowicz a vu le jour en 1983. Sa plume agréable tire son inspiration de sa pratique quotidienne du système judiciaire.
Son deuxième roman, Puisqu’il faut qu’il y ait une Justice, fait suite à De profundis clamavi et nous replonge dans les aventures haletantes de Lazare Estran. Son personnage fétiche est pris dans une intrigue se déroulant à nouveau à Dijon.
Ponctué d’une touche de sensualité gay, le récit mêle enquête policière traditionnelle et évolution de l’histoire de son narrateur si singulier, qui ne laisse pas indifférent.
Lazare Estran a tout pour être heureux : un physique avantageux, un travail passionnant, un concubin charmant, une magnifique maison où tout est parfaitement ordonné…
Juge d’instruction, c’est un magistrat compéten ... Lire la suite
Lazare Estran file le parfait amour avec son nouveau compagnon depuis deux ans et s’apprête à rencontrer pour la première fois ses beaux-parents. Comme à son habitude, il a anticipé cette soirée et tout organisé au millimètre près.
Cependant, il aura la contrariété d’être confr ... Lire la suite