Quand on a le privilège de croiser une thérapeute « talentueuse » qui sait être à l’écoute de ceux qui cheminent avec difficultés ; et ce, jusqu’à suggérer l’impulsion qui débloque et les fait avancer dans leurs propres directions.
Quand, de plus, cette thérapeute aime raconter avec moulte couleurs ces péripéties qui débouchent généralement sur du mieux vécu…
le scribe n’a plus alors qu’à transcrire et ornementer par la littérature des novelettes.
Ce qui donne quasiment une trentaine de petites « Histoires de sens ».
Des histoires qui font profondément sens car elles témoignent de la capacité pour l’humain à reconnaître et répondre au « sens » qui l’appelle ; et aussi à aider d’autres humains. Cela, dans une réciprocité plus grande qu’on l’escomptait a priori.
Puisse ce modeste opus contribuer à ce que l’humanité se sente un peu mieux dans sa peau. Jusqu’à respecter autant que faire se peut tout ce qui l’entoure.
André Larivière, Québécois vivant en Auvergne profonde juste bien désertifiée à son goût, et qu'il appelle "Canada doux", même à 900 mètres d'altitude, a écrit de la petite littérature toute sa vie. Et ce, sans se prendre du tout pour Victor Hugo,
Avec un fort faible pour le style laconique des historiettes et novelettes légèrement fantastiques.
Mais la militance étant sans cesse prioritaire, il accumulait au fond des tiroirs.
Et puis, à l'automne de sa vie (oui, né fin septembre) en piochant dans ses tiroirs, histoire de se surprendre autrement, il a retrouvé quelques écrits "potables ".
Voici donc "Ouaouaron sur baobab", entre éventuels textes à chansons et poèmes qui, osons-nous l'espérer, sauront vous sourire.
Et il a encore quelques autres viatiques dans sa besace pour la suite du voyage…
https://www.andre-lariviere.fr/accueil
« Je suis une sorte de jardinier nomade », dit celui qui essaie simplement d'arriver à tourner à peu près correctement avec les saisons.
Appelé par l'aventure de la conscience. Telle la spirale perlée de sèves au cœur du tournesol qui incline sa face du côté du grand Sole ... Lire la suite
Plusieurs de ces poèmes furent conçus, plus ou moins, pour être mis en musique (ce pourquoi on y trouve souvent cette forme répétitive qui permet le refrain).
Certains de ces poèmes ont trouvé leur mélodie avec guitare et voix ; et plusieurs autres, non.
D'autres encore ... Lire la suite