Au début de l’été 1662, dans le village d’Arradon en Bretagne, Rozenn et Aogusta entretiennent un amour interdit. La première, issue de la petite bourgeoisie, est douce et éduquée par une mère qui rêve de grandeur. La seconde, intrépide et volontaire, est fille de paysans.
Elles mènent une existence paisible, vivant leur relation loin du rang et des convenances, indifférentes à la chasse aux sorcières qui fait rage dans l’est de la France. Pourtant Rozenn possède un don particulier qui lui permet d’entendre la voix des morts. Et Aogusta maîtrise l’art délicat de la réalisation de potions. Pour les villageois, elles sont Les Sœurcières d’Arradon.
Un matin, le comte de Montbazallec arrive au port de Vannes pour affaires. Il tombe immédiatement sous le charme de Rozenn et ne tarde pas à la demander en mariage, s’appuyant sur les manipulations de sa future belle-mère qui voit là l’occasion de se hisser dans la noblesse qu’elle convoite tant.
J'écris depuis toujours (ou presque) et plus j'écris, plus j'ose. J'ose m'aventurer sur des sentiers que je ne connais pas. J'ose partir à la rencontre de mon public. J'ose vivre cet art, pleinement, chaque jour. En parallèle, j'accompagne des associations sur leur communication, je découvre leurs passions qui nourrissent la mienne. Deux métiers gratifiants qui se complètent.