De 1890 à 1995, les autorités canadiennes enlèvent les enfants autochtones pour les placer dans des internats censés faciliter leur insertion sociale dans la société blanche. On évalue à 3 500 le nombre d’enfants autochtones morts en ces lieux.
Canada, 1958. Alors qu’elle menait une vie paisible auprès de ses parents, Ozalée est propulsée en enfer : désormais, elle doit vivre dans un pensionnat autochtone. Son ami de toujours, Lonan, fuit avec son père pour échapper au même destin.
Arrachés à la réserve indienne qui les a vus s’épanouir, les deux enfants sont contraints de grandir brutalement et de faire face à la nouvelle vie qui se profile devant eux : pour Ozalée, une vie de déracinement et d’intégration forcée, pour Lonan, une vie d’exilé pétrie par les enseignements traditionnels indigènes.
Critique acerbe et poignante des pensionnats autochtones canadiens, Une famille canindienne n’épargne ni l’Église ni ceux qui ont contribué à ce traumatisme intergénérationnel et culturel.
Après une longue carrière entièrement tournée vers la relation à l’autre dans des entreprises de toutes tailles et des responsabilités européennes, ce retraité continue à s’engager bénévolement dans des structures nationales comme des fédérations ou régionales dans un club service. Aujourd’hui, en parfait dilettante il se consacre occasionnellement à l’écriture, juste pour son plaisir…et bien sûr, celui de ses lecteurs. La grande diversité de ses expériences et la richesse de son parcourt se retrouve dans son style d’écriture, généralement varié et toujours bienveillant. Avec un regard incisif, il aborde, à travers ses romans, des sujets qui l’ont interpellé ou qui lui trottaient dans la tête depuis un long moment.
Esclarmonde, jeune femme de la petite noblesse du XIIe siècle, naît et grandit en Occitanie. Comme les femmes de son époque, elle est destinée à se marier jeune et à consacrer sa vie au bien-être de sa famille. Mais son existence va prendre un autre tournant.
Une mauvaise chute ... Lire la suite