Lazare Estran file le parfait amour avec son nouveau compagnon depuis deux ans et s’apprête à rencontrer pour la première fois ses beaux-parents. Comme à son habitude, il a anticipé cette soirée et tout organisé au millimètre près.
Cependant, il aura la contrariété d’être confronté à un imprévu de taille, grain de sable dans les rouages bien huilés de son plan, lorsqu’ils arriveront accompagnés de leur petit-fils âgé de 21 ans, en pleine crise de rébellion, qu’ils entendent confier à son père.
Au moment de prendre une décision qui aura un impact indéniable sur son couple, il est obligé de s’en aller pour rejoindre le lieu d’un crime inquiétant. Un tueur en série paraît cibler ses collègues magistrats.
Grâce à quelques arrangements procéduraux, des pouvoirs hors du commun vont lui être accordés afin de s’investir exclusivement dans cette enquête. Devenu « super juge d’instruction », arrivera-t-il à démasquer le meurtrier avant qu’il ne fasse sa prochaine victime ?
D'origine mosellane, L.J. Stranowicz a vu le jour en 1983. Sa plume agréable tire son inspiration de sa pratique quotidienne du système judiciaire.
Son deuxième roman, Puisqu’il faut qu’il y ait une Justice, fait suite à De profundis clamavi et nous replonge dans les aventures haletantes de Lazare Estran. Son personnage fétiche est pris dans une intrigue se déroulant à nouveau à Dijon.
Ponctué d’une touche de sensualité gay, le récit mêle enquête policière traditionnelle et évolution de l’histoire de son narrateur si singulier, qui ne laisse pas indifférent.
Lazare Estran a tout pour être heureux : un physique avantageux, un travail passionnant, un concubin charmant, une magnifique maison où tout est parfaitement ordonné…
Juge d’instruction, c’est un magistrat compéten ... Lire la suite