Bonjour, vous ne me connaissez pas, ou pas encore, ou peut-être que mon histoire vous rappellera la vôtre, celle d’un proche, d’une connaissance. Hé oui, peut-être que vous avez-vous même vécu la même expérience de vie. Si c’est le cas, j’espère que vous vous en êtes bien sorti(e) et que vous avez accueilli à bras ouvert cette nouvelle vie que l’univers a prévu pour vous.
Je m’appelle Caroline, je suis une Insulaire, je vivais à l’époque sur une île majestueuse, merveilleuse, luxuriante, l’île Papillon. Une île peuplée de femmes et d’homme d’origines diverses.
Je suis issue d’une famille de 6 enfants, ma Mère une femme exceptionnelle, femme au foyer et mon Père un homme prodigieux, entrepreneur. Je ne peux vous cacher ma fierté de les avoir eus pour Mère et Père, un Roi et une Reine. J’ai vécu une enfance heureuse auprès de ma famille, je n’ai jamais manqué de rien. Au niveau scolaire, j’étais une très bonne élève, studieuse, respectueuse des règles, appliquée, les bonnes notes étaient régulières. Je menais une petite vie tranquille, dans l’innocence. Malgré une grande timidité, et de nature rêveuse, je profitais des bonnes choses de la vie en quelque sorte. Je vais vous embarquer dans la vie tumultueuse que j’ai vécu dans ma première tranche d’existence : amour, jalousie, mensonges, etc.
Bienvenue dans mon monde enchanté, désenchanté, éveillé !
L’auteur M.P. GOUD est une caribéenne, une citoyenne du monde. Après un parcours assez atypique, elle décide de se lancer dans l’écriture et nous relate à travers ce roman, le vécu douloureux de cette jeune ilienne, qui a su démontrer au travers de toutes ses péripéties amoureuses et professionnelles, que tout est possible dans la vie. Cette histoire est aussi révélatrice d’ injustices qui se produisent dans le milieu du travail partout dans ce monde, que certains vivent et portent comme un fardeau parfois, toute leur vie durant, au détriment de leur santé, de leur vie. Un récit poignant, qui ne laisse pas indifférent et pousse à la réflexion. Une lueur d’espoir dans ce monde parfois si injuste !