Tout réussit à Fidèle Toussaint, marié à Élisiana. Le métier, l’argent, le mariage. Il pense avoir trouvé sa place dans ce monde-là, même si c’est au prix d’une vie perdue entre courses et poursuites. Cependant, tout le rouage de ce bonheur va s’enrailler. Après de multiples mésaventures, elle finira par divorcer et laisse son mari exsangue et dépité, avec une question qui se répète sans cesse dans sa tête comme un refrain sans fin : « Où est l’amour ? » avec un grand A, le vrai, le grand, le tout-puissant. Cette émotion qui l’emporte sur tout, cette sensation qui prime sur tout.
Pour parachever le travail de sape de son destin mâtin, il va perdre son travail et avoir un accident, après avoir vendu son appartement. Maintenant, seul et sans rien, il ne sait plus où il est, quel est le but de la vie ? Il a l’impression de ne plus être à sa place.
C’est un récit que j’ai voulu construire de façon inédite. J’ai encadré cette histoire par des poèmes pour l’introduire et la finir pour la respiration de la lectrice, du lecteur. La 1re partie est l’évocation de l’histoire d’amour. La 2e partie du livre narre ses ruptures, et les réflexions qui en découlent. Il repense avec nostalgie tout ce qui faisait l’environnement que Fidèle aimait, et qui lui permettait de tenir debout, d’avoir envie de se lever chaque matin. Touché, mais pas coulé ! Il continue à espérer que son utopie d’aujourd’hui devienne réalité demain ; de retrouver un jour sa place…
À l’eau de mon écriture, j’aime faire éprouver les émotions du cœur, tous ces sentiments que le lecteur/la lectrice a enfoui devant l’indifférence d’un monde aveuglé par bien trop de cartésianisme. Mon mot d’ordre est « Un cœur bien ancré dans l’esprit d’un corps bien accepté ». C’est mon cœur qui me conduit sur les chemins du monde.
Mon cursus professionnel a évolué sur les vagues du monde informatique. Les eaux de ma vie m’ont conduit à ce que l’écriture devienne mon oxygène. Depuis le navire de mes compositions pleines d’émotions et de sensations, vogue sur la mer du toujours. "Sur l’écume des jours", je perçois la mélodie des phrases se répéter dans ma tête telle un refrain sans fin. Par ce fait, je vois les couleurs d’une foule d’histoires qui ne demandent qu’à se transformer de romans en recueils, de proses en poésies Aujourd’hui les désirs et les rêves de ma passion m’incitent à proposer mon manuscrit à vos éditions.