Celui qui aime les chevaux


De Philippe Géraude

En 210 av. J.-C., l’empereur de Chine meurt. Un complot empêche son fils ainé d’accéder au trône. 2000 ans plus tard, des fouilles archéologiques exhument des tablettes de bambou. Elles décrivent avec exactitude et précision des évènements historiques futurs. Les dernières désignent "celui qui aime les chevaux", comme la réincarnation du prince spolié, Fou Sou. Il est capital selon ces tablettes, que cet homme du 21ème siècle monte sur le trône de la Chine moderne pour lui éviter le chaos.

Le président de Chine prenant au sérieux le contenu prophétique de ces écrits demande au colonel Wu, des services secrets, d’identifier cet homme désigné comme "celui qui aime les chevaux". Accompagné du professeur Wei, découvreur des tablettes, il va retrouver le "prince réincarné" et devra en assurer la protection. Ce simple particulier que rien ne prédestinait à une telle fonction est plongé au cœur du futur politique de la Chine.

Plus de 110 ans après avoir destitué le dernier empereur, l’empire du Milieu se préparerait à renaitre. Ce n’est pas, pour certains membres du gouvernement chinois, une option acceptable, il faut donc assassiner le putatif prince et les siens afin d’empêcher la restauration de la monarchie.

Comment cet homme appréhendera-t-il cette incroyable situation ? Acceptera-t-il cette lourde charge et survivra-t-il aux noirs projets de ce groupe d’opposants ?

Et vous, que feriez-vous face à cet improbable dilemme : rester un simple citoyen ou accepter cette haute fonction ?

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Livre numérique
0,99€
Publié le : 29/03/2021
ISBN : 9791026280040
Formats : PDF - EPub - MobiPocket

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Philippe Géraude


J'ai passé plus de 40 ans à soigner, comme infirmier et cadre de Santé, en France et à l'étranger. Je suis un grand lecteur de romans historiques et de livres spécialisés en histoire, quel qu'en soit l'époque. J'avais, en particulier, une appétence pour l'Égypte Antique et pour ma terre, la Bretagne. Les hasards de la vie m'ont permis de découvrir la civilisation chinoise. Son ancienneté et sa richesse m'ont conduit à, modestement, en étudier la langue. J'ai également eu l'occasion de m'y rendre quelquefois. C'est durant un séjour en 2012 que l'histoire de  "Celui qui aime les chevaux" m'est venue.