« Liberté, liberté, liberté. Ah mais oui, y a une anagramme : bélître. Ça veut dire vaurien. Oui, c’est clair. Pour être libre, il faut vraiment que je me libère une bonne fois pour toutes du vaurien qui me ronge à l’intérieur. »
Élevé par ses grands-parents pour échapper à la violence de son père, Gabriel est un jeune garçon qui porte la débrouille comme une seconde peau. Il grandit dans un HLM d’une cité bordelaise, se trouve une bande, et se laisse porter sans faire de plan.
Contre toute attente, à l’âge adulte, il parvient à se frayer un chemin vers les sommets. Il intègre le monde de la finance et en adopte les vices : hauts profits, magouilles, drogues, corruption. Entre hauts et bas, ombres et lumières, amour et amitiés sulfureuses, Gabriel fera-t-il la paix avec ses démons intérieurs ?
Dans Bélître, Pierre-Alain Benoit invoque les eighties, les riffs sanglants du rock et la naissance du rap pour livrer un roman puissant aux parfums de cigarette, d’embruns de l’Atlantique et d’espoir.
.« J’ai attendu d’avoir cinquante ans pour trouver ma voie et ma voix». C’est en ces termes que se définit lui-même Pierre-Alain BENOIT. Après 30 ans passés avec succès en finance de marché, il a décidé de tirer un trait sur ce monde. Un peu par choix, beaucoup a cause d’un second burn-out. Après une période de sevrage aux addictions que sont l’adrénaline et la course a l’argent, il retrouve enfin le gout de lire et décide de réapprendre à écrire. Grace a une coach exceptionnelle dont il veut égoïstement taire le nom, il réalise finalement un vieux fantasme, son rêve le plus cher. Publier son premier roman:Bélître, l’anagramme de Liberté.