Insidiator

Le plus beau jour de ma vie sera celui de ma mort


De Stéphane de la Forêt

Le capitaine Vincent Aronval, militaire mis en retraite anticipée suite à ses blessures de guerre, vit très mal cette réforme. Pour lui, c’est une véritable trahison, il ne se sent pas du tout trop vieux pour le service.
Lui, qui a consacré sa vie à la France, décide purement et simplement d’entrer en guerre contre elle ! Malgré les moyens déployés, il reste insaisissable.
Ayant travaillé pour certaines missions spéciales de la DGSE, il a toujours un coup d’avance. Son plan d’attaque, préparé pendant un an, est une machine implacable: les morts se succèdent et la police va de déconvenues en déconvenues.
Sa petite guerre, commencée dans l’Indre, prend vite des proportions nationales, voire internationales.
Comment ce combattant hors pair va-t-il pouvoir continuer sa croisade sachant que les résultats dépassent ses espérances ?

Au fil de l’histoire, on assiste à la déshumanisation du personnage qui semble s’enfoncer dans la folie, ne faisant plus la différence entre sa « guerre » et le meurtre gratuit.
Dans ce thriller, l'auteur privilégie l’action aux scènes "gores" et de par la personnalité complexe du personnage principal, il n’y a pas de sexe, ni d’histoire d’amour.
Certains passages sur la fabrication de bombes artisanales ont été modifiés ou retirés.
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Livre numérique
2,49€
Publié le : 02/05/2016
ISBN : 9791026205357
Formats : PDF - EPub - MobiPocket

Stéphane de la Forêt


            À 53 ans, et après une carrière commerciale, il a cessé depuis quatre ans toutes activités professionnelles. Il se consacre désormais à la sauvegarde des forêts, lacs et rivières dans le monde. Il effectue en parallèle des recherches historiques et politiques.
            Son premier roman, intitulé « Jolric », écrit sous forme d’uchronie, parus chez Sudarènes Éditions en septembre dernier est un condensé de son engagement et de ses recherches.
            Jugé un peu élitiste, il a voulu que son second roman soit vraiment accessible à tous.
            Sa faculté d’extrapolation, déjà utilisée pour son premier roman, donne ici un récit explosif et glaçant tant il a l’air prémonitoire.