Mercredi 1er avril 2020
En ce jour traditionnel du quolibet, de la farce, l’Histoire n’est pas au rendez-vous. Elle ne nous permet pas la blague. S’y adonner serait curieux, inopportun, tout à fait déplacé, choquant. J’imagine que personne n’oserait s’y risquer en cette année 2020.
Et pourtant je voudrais tant qu’on me dise : réveille-toi, c’était juste un cauchemar. Tout va bien dans le monde, c’est comme d’habitude, l’injustice partout, la mondialisation, l’empire de l’argent, les attentats, la pollution, le plastique, les déchets, le réchauffement climatique, les tortures, les guerres, le racisme, l’intolérance, l’oppression...
Mais un virus mortel sur la planète, non, Clémence, tu as rêvé.
Tout va bien.
Ce récit n’est pas celui du virus. Pas tout-à-fait. Mais, passant par l’année 2020, il en traverse la sombre période.
Un instant, une page.
Quelques chemins
empreints de désir, de force,
marqués par les batailles, la fragilité.
Avant. Après.
Les histoires dans l’Histoire.
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