Pour Hugo, quadragénaire sans histoires, rien ne justifie le cauchemar qui le propulse dans la peau d’un enfant traqué par des nazis dans un sanatorium. Hostile à toute analyse, pour comprendre, il préfère retrouver le bâtiment du rêve à partir de son souvenir. Sa femme, psy, et son fils, fan d’urbex, mènent l’enquête.
Ensemble, parviendront-ils à décrypter les signes du passé pour déterrer le drame enseveli qui poursuit leur famille ?
Mylène Lambert nous perd dans les méandres de l’inconscient de l’enfant symptôme d’un traumatisme secret, pour mieux nous surprendre avec ses facettes ignorées de tous.
Avec cette fiction intergénérationnelle, elle rend hommage à la résistance.
Ex-avocate, j’ai opéré un virage à 180 degrés pour ma nouvelle vie professionnelle, que je consacre à raconter des histoires, souvent en images. Avec mes albums illustrés, je communique, parfois en rimes, de la tendresse et des rires. Pour moi, la scénarisation de BD offre un merveilleux moyen d’expression grâce à la co-création avec des dessinateurs. Cette synergie m’a permis d’évoquer à quatre mains des sujets sérieux (harcèlement, violence) dans des aventures dynamiques, teintées de mystère et d’humour. Enfin, les romans déroulent un terrain sans limites pour jouer librement avec les mots, ce dont j’abuse au point d’en inventer. Ce qui m’intéresse avant tout, c’est la transmission intergénérationnelle, les émotions et l’amour de la nature.
Plus que tout, Filomène, lutine des temps modernes et créatrice de bêtises, voudrait un animal de compagnie.
Pas de chance : ses parents s’y opposent fermement !
Soutenue par sa mémé Fidélia, parviendra-t-elle à surmonter les obstacles pour relever le défi d’une ado ... Lire la suite