Il faut souffrir pour être belle… J’aurais dû me souvenir de cet adage lorsque par défi, je me suis présentée au concours de Demoiselle de France. Parce que, contre toute attente, moi Isobel Leroux, l’étudiante en sociologie qui écrit un mémoire sur le féminisme d’hier à aujourd’hui, j’ai gagné.
Désormais sous le feu des projecteurs, je dois composer avec mon étiquette de féministe en même temps que la couronne et l’écharpe tant convoitées.
C’est paradoxal ? Certainement. Vous croyez que je vis un rêve éveillé ? Détrompez-vous. Rien ne saurait être plus éloigné de la vérité…
Et je ne parle même pas de Caelen Malchian, moitié d’Écossais coupé de macho arrogant au corps parfait que l’on me colle dans les pattes pour améliorer notre image commune…
Mariée, maman et diplômée de droit, Robyne Max Chavalan, qui écrit aussi sous le pseudonyme d’Esméléïa Brandt, est une écrivaine de nature hyperactive. Ce qui lui plait ? Passer de l’humour coquin à l’autodérision sans jamais perdre de vue les valeurs essentielles qu'elle prône telles que générosité et tolérance. Elle signe aujourd’hui son huitième roman où se mêlent romance contemporaine et sujet de société.