Strasbourg, au 2, rue des Constellations, palier du cinquième, porte de gauche.
C’est ici que vit Clara, institutrice créative, engluée dans sa routine et ses habitudes, et cabossée par ses secrets. Malgré une première rencontre déroutante, elle nourrit une amitié forte avec l’occupant de l’appartement d’en face, à droite en sortant de l’ascenseur. Ce papa divorcé est écrivain et lutte contre ses tourments en enchaînant les excès.
Complices et attachantes, ces deux âmes blessées se soutiennent sans faillir. Elles composent avec leurs clans qui les entourent respectivement, données inaltérables de leur équation. Mais quand une nuit d’été, l’écrivain avoue imaginer une issue amoureuse à leur relation, Clara se braque, sans pour autant parvenir à renoncer à leur lien si précieux. Leurs errances les conduisent à des confidences, avec une question récurrente : peuvent-ils se réparer ?
L’Appart d’en face, c’est une histoire d’amour et de résilience, un tourbillon de sentiments et d’émotions qui nous entraîne d’une porte à une autre, en empruntant parfois des chemins tortueux.
Depuis toujours, Virginie Guélin aime se raconter des histoires, qui parlent d’amour, cela va de soi.
Dans son univers, la créativité est le fil conducteur qui anime son quotidien et nourrit son imaginaire. Ainsi, dans son cocon alsacien, les romans côtoient les tissus, les carnets son appareil photo, les stylos ses pinces à bijoux et l’ordinateur sa machine à coudre.
Sans oublier sa tasse de thé qui n’est jamais bien loin.