« Tu n'es plus là où tu étais, mais tu es partout où je suis. »
Victor Hugo a dit bien mieux que moi le vide irréparable qu'est la perte d'un enfant. La seule façon de survivre à ce drame est d'en parler et d'en parler encore.
J'ai mis vingt ans à mûrir ce livre, vingt ans, jour pour jour, depuis le départ de Benjamin...
C'est parce que Benjamin aimait la vie qu'il aimait celle des autres... en particulier celle de ceux qu'il aimait.
Biographie